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Bien sûr, on peut acheter et recevoir chez soi les magazines, par abonnement, voie postale ou portage. Classique.
Mais on peut aussi, quand on fait ses courses en ligne, recevoir ses magazines avec les produits commandés sur le Web.
Ainsi, dans un carton de livraison à domicile du supermarché en ligne (Telemarket.fr), nous avons trouvé, avec la traditionnelle boîte d'échantillons à tester et de coupons, tout au fond, deux magazines : Paris Match et Maison Bricolage et Décoration. Bien sûr, nous ne les avions pas demandés. Cadeau : 5,9 €, équivalents aux deux tiers du prix de la livraison. Promotion, lectorat gratuit, Diffusion France non payée (OJD), ciblage possible à partir de liste d'achats effectués, de son montant, etc. Chanson connue.
Mais on pourrait imaginer qu'à l'avenir, aux yaourts, à la lessive, aux jus de fruits et aux biscuits, on ajoute à son panier du moment, des magazines. On coche, on paie, on est livré le lendemain. Et voilà.
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Nietzsche philologue
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Friedrich Nietzsche, *Traité appelé La joute d'Homère et Hésiode*, *Certamen
quod dicitur Homeri et Hesiodi*, E codice florentino, Les Belles Lettres,
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5 commentaires:
Je trouve que c'est une très bonne idée (même si l'on ne verrait pas la "disparition" des libraires d'un très bon oeil). Aujourd'hui les commandes en ligne sont de plus en plus fréquentes et bien pratiques alors pourquoi ne pas commander ses journaux favoris sans avoir l'obligation de s'abonner et en plus avec ses courses de la semaine. D'ailleurs il existe déjà un site http://www.journaux.fr/ Journaux.fr permet de commander à l'unité ou de s'abonner à des journaux et des magazines français et étrangers directement en ligne. Avec plus de plus de 9000 références, plus besoin de traverser Paris pour trouver son magazine,tout y est!
Je trouve aussi que ce type de pratique est une très bonne idée. Faire ses courses en ligne est devenue une manière de vivre et de consommer qui s'inscrit de plus en plus dans les comportements des foyers français.
Cependant, je pense que les journaux achetés par ce biais ne peuvent être que des magazines spécialisés ou des mensuels voire hebdomadaires. L'actualité quotidienne sera toujours entre les mains des traditionnels librairies ou kiosques.
Je trouve aussi que ce type de pratique est une très bonne idée. Faire ses courses en ligne est devenue une manière de vivre et de consommer qui s'inscrit de plus en plus dans les comportements des foyers français.
Cependant, je pense que les journaux achetés par ce biais ne peuvent être que des magazines spécialisés ou des mensuels voire hebdomadaires. L'actualité quotidienne sera toujours entre les mains des traditionnels librairies ou kiosques.
En accord avec les avis précédents, je trouve cette idée brillante. Un bon moyen de se faire connaitre, pour un coût relativement limité. Une petite marque, en lancement, n'aurait pas à chercher à tout prix un packaging eye-catchy : il est offert, donc les clients vont le consommer, même si l'emballage n'est pas particulièrement attrayant.
En somme, une vraie idée marketing, qui n'est pas perçue comme invasive, puisqu'elle laisse le consommateur faire son choix grâce à un produit 100% offert?
La presse papier étant comme on le sait “en crise” avec la concurrence que présente l’information gratuite en ligne (et papier), je trouve cette idée très intéressante. Face à cette concurrence, la presse papier est amenée à trouver de nouveaux moyens de “se vendre” et vanter ses mérites aux lecteurs. Recevoir un magazine (ciblé par rapport au profil du consommateur évidemment) gratuitement pourrait pousser ce consommateur à feuilleter celui-ci, le lire, avec la probabilité qu’il s’y intéresse et décide de s’y abonner. Ceci rejoint en quelque sorte la théorie de l’engagement telle que traitée par Joulé et Beauvois- en offrant un magazine, on incite à un petit acte(soit parcourir le magazine, dans le meilleur des cas le lire), donc un comportement peu coûteux, dans l’optique d’obtenir un acte plus contraignant du consommateur, c’est à dire l’achat d’un magazine.
Cette technique se confronte toutefois à la possibilité que le consommateur intéressé par le magazine préfère consulter le site online de celui-ci, afin de ne pas payer. Heureusement, tout n’est pas accessible en ligne et le “online” ne remplace pas encore les magazine à contenu spécialisé, mais le débat reste ouvert.
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